yes one thinks ofthe passage in What is Philosophy Guattari et Deleuze speak of the work of Yves Tanguy and his 'illustrations'
his strations
of the
philo
sophers..... as
this pro
jecting
folding
from ________________NATALIE LEVISALLES
Collectif Dossier Wolfson ou l’affaire du «Schizo et les langues» «l’Arbalète» Gallimard, 184 pp., 15,90 euros
La dernière fois qu’on a entendu parler de Louis Wolfson, c’était en 1984. Depuis, rien. Les lettres envoyées par son éditeur français sont restées sans réponse, on ne sait même pas s’il est mort ou vivant. Peut-être la publication ce mois-ci du Dossier Wolfson, presque quarante ans après le Schizo et les langues, provoquera-t-elle des réactions. Le Schizo et les langues est un livre littéralement extraordinaire : ni témoignage, ni littérature, ni œuvre de «fou littéraire», il a été publié par Gallimard en janvier 1970 et est rapidement devenu un livre culte. C’est un des textes qui (comme Mars de Fritz Zorn, en 1979) ont secoué toute une génération d’intellectuels et d’étudiants, en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Italie. Depuis quarante ans, il continue à être acheté (100 exemplaires par an ces dernières années, 10 000 en tout) et à engendrer d’autres textes.
Is the wolfman WolfSon alive or dead?
is he the binary code of both? both lanwidges?
the tongue bifurcated par excellence?
Dossier Wolfson raconte à la fois les circonstances rocambolesques de la publication et les échos que le livre a provoqués, suscitant des textes de Michel Foucault, Piera Aulagnier, Max Dorra, Paul Auster, Gilles Deleuze, J.M.G. Le Clézio, Pierre Alferi et François Cusset. C’est Thomas Simonnet, jeune éditeur chez Gallimard né en 1974, qui a rassemblé le Dossier, après être tombé sur le Schizo dans la bibliothèque familiale et en avoir parlé avec son voisin de bureau, le psychanalyste Jean-Bertrand Pontalis, qui avait publié Wolfson dans sa collection «Connaissance de l’inconscient».
La lecture du Schizo est un choc, ce texte ne ressemble à rien. Bien sûr, l’auteur, qui se nomme lui-même «le jeune homme schizophrénique» ou «l’étudiant d’idiomes dément», fait le récit de sa vie new-yorkaise : le petit appartement partagé avec sa mère, les études ratées, la bibliothèque de la 42e rue, les prostituées de Times Square et aussi sa maladie, ses phobies, ses séjours en hôpital psychiatrique. «Le jeune homme avait été dans beaucoup d’hôpitaux d’aliénés, presque toutes les fois son transport, sinon aussi son admission automatique ayant été arrangé préalablement et à son insu par sa mère, comme très souvent on le fait d’une telle manière sournoise avec les gens que les psychiatres jugent ou au moins disent malades.»
by the way of liberation livres ici pour le balance lance le flow de Monsieur Wolfson .
---------------------------------------- Dig that picture of Wolf_ the solo wolFSon
language runner, on the lam _ No way for publishers to get a hold of him. and that
essay . and them idears. and that Wakmann aHEad of its time.
go to liberation livres france ici mes lecteurs ~
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and at l'antioedipe en question
one fraction of the essay by Prof D and an interview with mister D
eleuzedone in 1970 with Jean Ristat for France culture .
and exotic picturing Spinoza_ Spinozaza seen by the beasts his beasts. this one
reminds me of Milton's dandling & gamboling lions!
se fait de Spinoza l'image d'un philosophe à perruque, avec son pesant appareil de théorèmes et de démonstrations. C'est négliger un autre pan essentiel de sa méthode : l'illustration. Cette initiation s'appuie sur les seuls exemples animaliers qui parcourent une oeuvre plus pittoresque qu'on ne l'imagine.
L'objectif du spinozisme est de replacer l'homme dans la nature, aux côtés de l'araignée, du cheval, des poissons. Et de l'arracher à ses illusions de métamorphose : le chat n'est pas tenu d'agir selon les lois de la nature du lion, l'homme ne saurait se transformer en bête ou en dieu. Pour l'initier enfin à la science des vraies mutations, menant à la vie éternelle. Mais la raison ne saurait l'emporter sans l'aide et le soutien des images.
C'est donc bien autour de l'homme que tourne ce bestiaire qui suit, grosso modo, l'ordre de l'Éthique, mais qu'on est libre de prendre, tel le serpent de Baudelaire, par n'importe quel bout. " Ariel Suhamy.
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